écrits entre 2016 et 2018.
L’enchantement de l’âme par le chant harmonieuxÂ
et les astres se reflètent et se bercent dans ses cieux
Comme des délices de la chaire prend son être en entierÂ
créer cette pulsion dévastatrice et submerge l’être aimé
Qu’avez-vous à dire, enfants, sur les chaînes qui vous entravent?Â
Libérez-vous pour baiser chacun des traits de l’autre suavesÂ
Ainsi terminez en donnant naissance à cette maxime fidèleÂ
Aime-moi bel amour, à jamais grave notre stèleÂ
—
Mens moi, trompe moi,
Sans que la confiance ne s'érode
Ni mots doux et verbalement incorrect
Rien ne s'abîme
Pas même l'amour
Viole moi, bats moi, tue moi,
Aucune fausse promesse
Puisqu'on s'est promis,
Nos cœurs liés
Pour le meilleur comme pour le pire
—
Â
Je saisis le reflet de ses mèches blondesÂ
Puisque rien chez lui que mon coeur ne sondeÂ
Des lèvres pulpeuses et des yeux océans
Ne donnent aux miens que des désirs aimantsÂ
Et mon corps quant à lui ne peut s’affranchirÂ
De cette force attractive qui ne fait que grandirÂ
— Sans fête et sans triomphe, je m’emploie à être tienneÂ
Que l’amour m’emporte dans le courant où n’existe la peine
Aucun mérite récolté d’aimer un être si sincèrement louableÂ
Puisque des qualités prodiguées, ne renonce à cet aspect ineffableÂ
Et si dans mes bras, tu ne te trouves guère le matin
Il n’y a que tes mots qui conduisent à ce bien souverainÂ
L’imagination porte ta présence en une réalité concrèteÂ
Deux entités lointaines, réunies par cette entreprise muette.
—
Je vous salue ma vie
Quelques soient vos bonnes grâces
Quand le coeur ne suffitÂ
Et que cet amour trépasse
Fuis, fuis, l’oubli de mes versÂ
Vers cette chaleur abolie
Qui entraîne l’éphémère
Et cette âme qui languitÂ
Eh quoi, j’aime de passion
N’y a t’il intention meilleure
Que cette agré-able-ssive chansonÂ
qui transportent douceurs à douleurs?
—
Du détour par le bel astre oculaireÂ
Bien plus que celui de la chevelureÂ
Il change d’éclat, varie sa lumièreÂ
D’un rond noir encerclé de rêves azurs
Ses yeux, révèlent plus que tout dans ses traitsÂ
Ses rêves, joies, ses forces passionnellesÂ
Sensations, craintes et mélopées,
puisque traverse l’âme-citadelleÂ
Comme le courant de son émanationÂ
Ce doux souffle vital coule dans ses globesÂ
Je lis les signes de ses abréactionsÂ
 et décomposent les parcelles de ces codesÂ